Sieste Obligatoire

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il y a 3 ans

Le motif importe peu. Une chose est sûre : elle s’était rendue coupable d’insolence. Par jeu. Par provocation. Il lui avait fait une remarque. Elle avait haussé les épaules. Il l’avait alors menacée d’une punition. Et elle lui avait tiré la langue. Par bravade.

C’était pendant le déjeuner. Dernière semaine d’août. Chaleur accablante. Canicule. La table était dressée sur la terrasse au bord de la piscine. Il s’était alors levé d’un bon. Sans un mot. L’avait saisie par le poignet. Elle avait protesté. Pour la forme. Il l’avait ainsi mise debout.

  • Mais… heu… (prononcer « maieuuuuuu »)

D’une poigne ferme, il l’avait attirée à lui et basculée en travers de ses cuisses.

  • Ça va pas non ! A-t-elle grondé en tirant sur sa robe d’été pour l’empêcher de la remonter sur ses reins.

Mais il lui a tordu le bras dans le dos à la hauteur des omoplates. Elle a remué ses jambes en sentant la fine cotonnade remonter le long de ses cuisses bronzées, dévoilant sa culotte blanche, très « petite fille ». Elle a trépigné d’impuissance avec l’énergie du désespoir en le traitant de « salaud » quand il la déculotta avec une lenteur consommée. Une claque sèche et sonore châtia son insulte. Elle crispa ses fesses avec pudeur. Une nouvelle claque la fit sursauter :

  • Aïe !

Un saut de carpe la fit s’ouvrir malgré elle. Elle tenta de frotter ses fesses cramoisies avec sa main restée libre. Mais il l’immobilisa en lui bloquant les deux poignets.

  • Ça c’était pour m’avoir traité de salaud.

  • Pardon, je ne l’ai pas fait exprès.

Elle se fait doucereuse pour l’attendrir. Chatte.

  • Je ne le ferai plus. Promis. Je t’adore.

Mais il continue à lui claquer le derrière. Assez fort. Avec méthode. Une fesse. Puis l’autre. Puis les deux. Parfois il change, pour la dérouter. Les fesses se crispent et se relâchent. Puis finissent par se soumettre et s’amollir, car elle a vite compris que ça faisait très mal si on garde le cul serré. Elle gigote si bien qu’une jambe pend dans le vide. Elle se sent soudain très indécente ainsi et lutte pour remonter sa cuisse à coté de l’autre. Mais d’un genou intercalé, il l’oblige à rester ouverte. Une jambe dans le vide. Cuisses écartées, raie ouverte. Les claques crépitent. Provoquant des sursauts et des cris étouffés. Il la fesse longtemps. Elle ne se débat plus. Résignée, elle tangue au gré de sa correction. Il la remet enfin sur ses pieds.

  • Dans ta chambre maintenant.

  • Mais… Je n’ai pas eu le temps de manger ma pêche et ma glace.

  • Immédiatement. Tu es privée de dessert.

Grognant de rage contenue, elle remonte sa culotte. Grimace un peu quand l’élastique de la taille frotte sur son épiderme enflammé. La robe retombe sur ses cuisses. Puis elle quitte les lieux. La chambre est fraîche. On a fermé les volets. Dehors c’est la canicule. Il la rejoint. Elle boude les bras croisés. Puis elle se tourne vers lui et lui tend les bras quémandant un câlin. Il la repousse :

  • Non tu es punie.

  • Mais j’ai passé l’âge.

  • Non tu te conduis en gamine. C’est normal que je te punisse comme tel.

  • Un petit câlin….

  • Non au lit !

  • Mais la plage… tu m’avais promis que nous irions nous baigner.

  • Aujourd’hui tu en es privée. Sieste obligatoire. Et ce ne sera pas une sieste crapuleuse, à deux.

Elle prend une moue contrite, très gamine.

  • Tu plaisantes j’espère.

  • Pas du tout. Obéis. Déshabille-toi !

  • Quoi ?

  • Oui toute nue.

Elle s’exécute avec une exaspérante lenteur :

  • La culotte aussi ?
  • Toute nue, j’ai dit.

Elle baisse sa culotte aux chevilles, se baisse pour la ramasser montrant ses fesses cramoisies.

  • Tu ne vas pas me laisser trop longtemps toute seule au lit quand même ?
  • Va te brosser les dents.

Elle se rend dans la salle de bains attenante. Retrouve des sensations troublantes et sensuelles enfouies depuis son plus jeune age. Il la regarde se brosser les dents. Elle a soudain honte de sa nudité, de son sexe épilé, de ses fesses rougies, de ses seins dont les pointes durcies témoignent de sa sournoise excitation. Elle se rince la bouche, évitant son regard dans le reflet du miroir. Il dépose alors à ses pieds un antique pot de chambre émaillé :

  • Il faut faire pipi avant d’aller au lit.
  • Mais tu es fou. Je peux très bien aller faire ça aux toilettes.

Pour seule réponse, il lui administre deux claques sur les cuisses :

  • Accroupie .

Comme elle hésite encore, il la tire vers le bas. Elle se retrouve « au pot » et se cache le visage dans les mains.

  • J’attends.

Silence. Il observe qu’elle creuse le ventre. S’applique. Mais c’est pas gagné. Au bout d’un moment elle lève vers lui des yeux suppliants :

  • Je n’y arriverai pas. Ça me bloque.

Il la laisse alors un moment seule. Mais quand il revient, elle en est toujours au même point.

  • Avec toute l’orangeade que tu as bue à table tu devrais avoir envie.
  • Je suis bloquée.

Il n’insiste pas. La relève par le poignet. Et la ramène dans la chambre. Elle se fige en découvrant la serviette de bain dépliée sur le lit et la mortifiante couche-culotte déployée dessus.

  • Allonge-toi.
  • Non pas ça.

Une nouvelle série de claques sur les fesses la font obéir. Elle s’allonge sur le dos et se cache le visage dans ses mains. Il lui relève les jambes bien haut. Genoux aux épaules. Elle gémit de honte quand du bout des doigts il lui pommade la vulve et la raie des fesses d’une crème pour nourrissons.

Elle se mord la main quand il lui écarquille les lèvres entre pouce et index, mettant à nu l’abondante humidité qui englue sa fente et le clitoris qui darde. Il lui boucle la couche autour de la taille. Grosse épaisseur de ouate qui l’oblige à rester cuisses ouvertes. Vaincue et excitée, elle se laisse manipuler comme une poupée docile.

Honteuse et excitée. Il la retourne sur le ventre, cul en l’air pour lui nouer les poignets dans le dos à l’aide d’un ruban rose. Puis il lui glisse une grosse tétine entre les lèvres avant de la recouvrir d’un drap fin.

  • Je vais à la plage. Toi tu es punie. Sieste obligatoire. A mon retour tu baigneras dans ton pipi. Je te laverai dans la baignoire. Et si tu as été sage tu auras certainement droit à un gros câlin.

Il l’embrasse sur le front et referme la porte.

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Trés belle histoire, merci pour le partage .
excellente narration
Très beau récit, merci, bises, Fifine
Un récit sympa mais un daddy sadique
En effet, un peu "méchant" de la part du daddy, je préfère le côté tendre. Cela dit, bonne fiction et bonne plume, merci !
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